Je le fais peu, voire pas du tout ici, mais voilà juste un bout de moi :

Il est toujours difficile d’accepter une réalité pourtant si simple : il y a des amitiés qui restent mais d’autres qui passent. On voudrait tout garder, toujours, mais c’est impossible. Alors on s’accroche mais vient un temps où il faut laisser partir l’autre, sans haine, sans volonté de se venger des larmes trop souvent tombées dans le vide par sa faute. La colère ne doit pas ternir cette amitié qui pendant des mois, des années, vous a fait grandir.

Cette année, je l’ai fait. J’ai passé des soirs à attendre encore et puis un matin, j’ai compris : notre amitié a été belle, intense, nous avons vécu de merveilleux moments et c’est cela que je dois garder en tête. Tant pis si la vie nous sépare, j’ai des beaux souvenirs à rejouer dans ma tête. On partira chacun de notre côté pour rencontrer d’autres personnes et la vie continuera.

Aucune amitié ne doit vous faire souffrir. Si c’est le cas, coupez le lien et ne gardez que le meilleur. Prenez tous le courage que vous pouvez amasser et faites-le. Il y a d’autres gens qui vous attendent.

Puisque le calendrier de l’avent de l’année dernière n’est plus (un calendrier en papier avec des enfants, ça finit toujours mal…), il a bien fallu en faire un autre. Après une p’tite étude des possibilités, mon cerveau est parti en vadrouille faire un truc tout seul dans son coin !

Je suis allée cherché mes bouts de cartons (merci les emballages !) et j’ai commencé à découper 3 modèles (non, je n’ai pas de troisième enfant né en secret… c’était prévu pour une copine de ma fille… mais j’ai trop tardé à les finir pour lui faire faire) .

Je suis allée cherché mes papiers pour le kirigami pour faire les façades (parce que oui, je ne savais pas vraiment où j’allais mais je savais que ça serait un immeuble !).

(à ce moment-là, ça ressemblait à un Tetris raté)

Et pour finir, j’ai mis les enfants à contribution en leur faisant dessiner (ou colorier) les fenêtres/portes et autres drôleries. Ils ont trouvé ça long (alors qu’ils n’ont pas passé leurs soirées dessus non plus… eux…) mais ils seront contents demain quand viendra le moment d’ouvrir la première case !

Par contre, je ne leur donne qu’un an à vivre (à ces calendriers, voyons !).